Termes de référence – Prestation Capsules vidéo, projet RESILAC At Action Contre la Faim France

Le projet RESILAC est construit selon une logique d’approche dite territoriale (aussi appelée ‘inter-pilier’) qui vise à toucher différentes parties prenantes d’un territoire (les forces vives – jeunes et femmes en particulier, les entités/acteurs locaux, les associations locales) autour d’un ensemble d’activités interconnectées et complémentaires. Les parties prenantes sont aussi mobilisées et appuyées sur un ensemble d’actions visant à contribuer à leur résilience et par extension à celle de leur territoire. Cette logique s’articule autour de quatre piliers d’intervention du projet pour en permettre une compréhension optimale et notamment le lien existant entre ces piliers. Les bénéficiaires sont directement intégrés aux piliers 1, 2 et 3 tandis que le pilier 4 concerne la production de connaissances.

L’objectif de la prestation est de monter une capsule vidéo « supranationale » ou « régionale » destinée à une diffusion grand public, une capsule vidéo de « capitalisation » du projet dont la cible sont les bailleurs de fonds, partenaires du secteur de l’aide, personnes initiées au domaine de l’humanitaire/développement ainsi que la capsule du Tchad.

De façon générale, la capsule régionale devra :

• Fournir une vue d’ensemble des conditions de vie et contexte des zones d’intervention ;
• Mettre en avant l’approche territoire/Inter-Pilier du projet et le parcours des bénéficiaires (un.e bénéficiaire peut être amené.e à être intégré.e à plusieurs activités du projet au sein de piliers différents) ;
• Faire apparaître autant d’hommes que de femmes ;
• Ne pas faire apparaître d’enfants nus ;
• Mettre en valeur les réalisations du projet à travers les témoignages des bénéficiaires et autres parties prenantes (services techniques décentralisées, organisations société civile et à base communautaire, leaders communautaires, producteurs, membres de l’équipe RESILAC etc.);
• Montrer les réalisations du projet et des activités en cours, des ateliers de formation, des groupes de dialogue ;
• Montrer les équipes en action, en interaction avec les bénéficiaires, leur prise en charge, avec visibilité logos RESILAC, ONGs et bailleurs (gilet, stickers etc.) ;
• Explorer les innovations testées dans le projet et leur résultats (leçons apprises) à travers des entretiens avec les équipes de mise en œuvre ;
• Vulgariser les activités et le fonctionnement du projet ;
• Proposer un « temps d’écran » égal entre les quatre pays d’intervention.

De façon générale, la capsule de capitalisation devra :

• Mettre en avant la technicité du projet tant dans sa conception (approche régionale, approche territoriale / inter-pilier, activités à impact court et moyen, parcours des bénéficiaires) que dans ses activités (innovation en termes de biopesticides, système de warrantage par exemple) et outils opérationnels mis en place ;
• Montrer les équipes en action, en interaction avec les bénéficiaires avec visibilité logos RESILAC, ONGs et bailleurs ;
• S’appuyer sur le témoignage de la coordinatrice régionale du projet ;
• Faire ressortir la logique d’intervention inter-pilier du projet ;
• Montrer les principaux résultats du projet ;
• Faire ressortir les leçons apprises du projet ;
• Proposer un « temps d’écran » égal entre les quatre pays d’intervention.

De façon générale, la capsule du Tchad devra :

• Fournir une vue d’ensemble des conditions de vie et contexte des zones d’intervention ;
• Mettre en avant l’approche Inter-Pilier du projet et le parcours des bénéficiaires (un.e bénéficiaire peut être amené.e à être intégré.e à plusieurs activités du projet au sein de pilier différent) ;
• Faire apparaître autant d’hommes que de femmes ;
• Ne pas filmer d’enfants nus ;
• Mettre en valeur les réalisations du projet à travers les témoignages des bénéficiaires et autres parties prenantes (services techniques décentralisées, organisations société civile et à base communautaire, leaders communautaires, producteurs, membres de l’équipe RESILAC etc.);
• Montrer les réalisations du projet et des activités en cours, à travers des visites filmées immersives : des chantiers, des sites aménagés d’agriculture (activités de maraîchage et de petit élevage notamment), des ateliers de formation, des groupes de dialogue ;
• Montrer les équipes en action, en interaction avec les bénéficiaires, leur prise en charge, avec visibilité logo RESILAC, ONGs et bailleurs (gilet, stickers etc.) ;
• Explorer les innovations testées dans le projet et leurs résultats (leçons apprises).

Profil recherche :

Le.a prestataire doit avoir les qualifications et des compétences correspondant aux normes requises par la mission :

• Compétences avérées dans le domaine de la réalisation et du montage de vidéos/films ;
• Expérience significative en matière de production et réalisation de films institutionnels notamment avec les ONG ou autres acteurs ;
• Prendre conscience des sensibilités culturelles et sociales des zones d’interventions du projet ;
• Respect des valeurs humanitaires et notamment des bénéficiaires ;
• Disponibilité au mois d’août